Photos de Machaon (Papilio machaon)

Photos de Machaon (Papilio machaon)
Le grand porte-queue

 Photo de Machaon (Papilio machaon)
Photo de Machaon (Papilio machaon)


 Photo de Machaon (Papilio machaon) 
Photo de Machaon (Papilio machaon)
 

Photo de papillon : la petite violette

Photo de papillon
la petite violette (Clossiana dia)

 
Photo de papillon : La petite violette (Clossiana dia)
Photo de papillon : la petite violette (Clossiana dia)

Photo de valériane rouge (centhrante)

Photo de valériane rouge (centhrante)

 Photo de valériane rouge (centhrante) Centhrantus ruber
Photo de valériane rouge (centhrante)
Centhrantus ruber
 

Tableau bouquet de fleurs

Tableau bouquet de fleurs

 Tableau bouquet de fleurs ex-voto sanctuaire de Laghet (06)
Tableau bouquet de fleurs ex-voto sanctuaire de Laghet (06)
auteur inconnu
 

Photos de salade verte

Photos de salade verte

Photo de salade verte
Photo de salade verte

 Photo de salade verte vue de dessous
Photo de salade verte vue de dessous
 

Photo de tomates en grappe

Photo de tomates en grappe

Photo de tomates en grappe
Photo de tomates en grappe
 

Photo de violettes

Photo de violettes

Photo de violettes
Photo de violettes
 

Photos de tulipes

Photos de tulipes

Photo de tulipe
Photo de tulipe botanique rouge


 Photo de tulipe 
Photo de tulipe double blanche
 

Photo de truites

Photo de truites

Photo de truites
Photo de truites
La pêche a été bonne pour l'ouverture

Photo de veau

Photo de veau

Photo de veau
Photo de veau
 

Veau tétant la vache

Veau tétant la vache

Veau tétant la vache
Veau tétant la vache

Champignons chanterelles : Girolle (Cantharellus cibarius)

Champignons chanterelles : Girolle
(Cantharellus cibarius)

Champignons chanterelles : Girolle (Cantharellus cibarius)    
Champignons chanterelles : Girolle (Cantharellus cibarius)
 

Champignons chanterelles : Girolle (Cantharellus cibarius)
Champignons chanterelles : Girolle (Cantharellus cibarius)
 

Girolle : (Cantharellus cibarius)
 
  Chapeau : jusqu'à 15 cm, jaune plus ou moins doré, d'abord arrondi puis étalé et déprimé au centre, à bord sinueux. Il est recouvert d'une mince cuticule, sèche.
  Plis : ils forment la partie fertile et ont une structure en lamelles.
  Pied : de même couleur que le chapeau, évasé, plein et cylindrique.
  Chair : jaune pâle, épaisse et fibreuse dans le pied. Sa saveur est douce et son odeur fruitée.
  Spores : jaune pâle, lisses et ovales.

    Est-il besoin de présenter la populaire Girolle ? Ce champignon si prisé des amateurs et régulièrement vendu sur les marchés se récolte des premiers orages de juin jusqu'à la fin de l'automne, sur les mousses humides des sous-bois de feuillus et de conifères. Cette espèce acidophile vient souvent en troupes, parfois en « ronds de sorcière », et reste plusieurs années fidèle aux mêmes stations. Aussi les « coins » à Girolle sont-ils gardés jalousement par les amateurs !

Attention : la Girolle peut être confondue avec le Clitocybe de l'olivier très toxique

    La Girolle est un excellent comestible, rarement attaqué par les parasites, limaces ou larves. La Girolle se prête à de nombreuses préparations culinaires. Il faut cependant la faire cuire un certain temps, et à feu doux pour éviter qu'elle ne durcisse.
    La stérilisation de la Girolle au naturel, en bocaux de verre, est également possible. Les petits exemplaires se conservent fort bien dans le vinaigre comme des cornichons, et peuvent être utilisés en condiment.

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Les Chanterelles
Girolle
Chanterelle en entonnoir
Chanterelle cendrée
Chanterelle jaune

(d'après Champignons)

Champignons : Lépiote élevée

Champignons : Lépiote élevée
(Lepiota procera) Coulemelle

Champignons : Lépiote élevée (Lepiota procera) Coulemelle  
Champignons : Lépiote élevée jeune (Lepiota procera) Coulemelle
 

Champignons : Lépiote élevée (Lepiota procera) Coulemelle
Champignons : Lépiote élevée (Lepiota procera) Coulemelle
 

Lépiote élevée : (Lepiota procera)
Coulemelle
 
Chapeau : jusqu'à 25 cm, brun écailleux. D'abord refermé sur un pied très haut, il s'aplatit avec l'âge en gardant un mamelon central brun foncé. Son revêtement, sec, se desquame en larges écailles brunes.
Pied : jusqu'à 40 cm, brun grisâtre, cylindrique et renflé à la base en un bulbe. Ce pied fibreux porte un bel anneau brun et blanc, qui coulisse comme une bague. Pied et chapeau se séparent très facilement.
Lames : blanc-beige, assez larges, se détachant aisément.
Chair : blanche et tendre, d'une odeur fruitée et d'une saveur de noix.
Spores : blanches.

    Connue de tous et facile à reconnaître, la Lépiote élevée ou Coulemelle demeure l'une des espèces les plus spectaculaires. Jeune, elle ressemble à une baguette de tambour ; à maturité, c'est un véritable parasol. On la trouve dès l'été dans les sous-bois clairs de feuillus, les friches, les haies, les clairières, sur sol siliceux. L'espèce vient soit en solitaire, soit en troupes qui peuvent alors former des « ronds de sorcière » considérables.
C'est un bon comestible, recherché surtout à l'état de « baguette de tambour ». Le pied fibreux et coriace, doit être exclu.

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Les Lépiotes
Lépiote élevée
Lépiote crépue
Lépiote en bouclier
Lépiote brunâtre

(d'après Champignons)

Champignons : Bolet Satan (Boletus satanas)

Champignons : Bolet Satan
(Boletus satanas)

Champignons : Bolet Satan (Boletus satanas) 
Champignons : Bolet Satan (Boletus satanas)
 

Champignons : Bolet Satan (Boletus satanas)
Champignons : Bolet Satan (Boletus satanas)
 

Bolet Satan : (Boletus satanas)

Chapeau : jusqu'à 30 cm, d'un beau gris livide quelquefois nuancé de vert, d'abord très bombé, s'étalant et se bosselant ensuite.
Son revêtement est satiné. De loin, il est possible de le confondre avec un gros silex.

Pied : jaunâtre à la base, rouge carmin au ventre. Il est court, ventru et couvert d'une résille écarlate.

Tubes : rouge sang, puis pâlissants.

Chair : blanche, dense, faiblement bleuissante à l'air d'odeur désagréable et de saveur douce.

Spores : en forme de fuseau, donnant une sporée vert olivâtre.

 

    Le Bolet Satan est une espèce à rejeter, car vénéneuse, occasionnant des dérangements gastro-intestinaux sérieux.
    Selon le témoignage de Roger Heim, les Kumas consomment le Bolet Satan et «deviennent frissonnants et excités, se décorent d'une façon extravagante, prennent les armes à la main et partent terroriser ceux des hommes de leur clan qui ne sont pas dans le même état qu 'eux...».
En France, le Bolet Satan  n'a certes pas une réputation aussi démoniaque, d'aucuns prétendant même que le Bolet Satan, consommé très cuit, est pratiquement inoffensif.  Pourtant, un beau cas d'empoisonnement est rapporté dans le Bulletin de la Société mycologique de France (Fascicule 2, 1984) par le mycologue R. Azéma, dont les conclusions sur ce malade hospitalisé au Centre antipoison de Lyon dans un état comateux sont sans appel : «Même si on est enclin à penser que l'allergie de Monsieur C. pourrait être invoquée, il faut considérer que le Bolet Satan est une espèce toxique, crue ou cuite.»

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Les espèces de bolets décrites
(description, photos...)

(d'après Champignons)

Champignons bolets : Nonette voilée (Suilus luteus)"

Champignons bolets : Nonette voilée
(Suilus luteus)

Champignons bolets : Nonette voilée (Suilus luteus)
Champignons bolets : Nonette voilée (Suilus luteus)
 

Champignons bolets : Nonette voilée (Suilus luteus)
Champignons bolets : Nonette voilée (Suilus luteus)
 

Nonette voilée : (Suillus luteus ou Boletus luteus)
Nonette des pins, Bolet jaune
 
Chapeau : jusqu'à 15 cm, convexe, brun-jaune fauve. Sa bordure est d'abord enroulée, puis il s'élargit avec l'âge en conservant un
petit mamelon central. Son revêtement est visqueux par temps humide.
Pied : d'un jaune plus pâle, assez court, ferme. il porte un anneau membraneux blanc teinté de violet.
Tubes : jaunes et courts. Les pores sont très petits.
Chair : blanc jaunâtre, d'une agréable odeur de fruit et d'une saveur légèrement acidulée.
Spores : ocre fauve, en fuseau.

    La Nonette voilée se rencontre exclusivement dans les sous-bois de conifères. Cette espèce assez commune pousse dès la fin de l'été et se maintient tard en automne. On la récolte couramment dans les Landes mais aussi en moyenne montagne, sous les pins à crochets jusqu'à 1200-1300 m). Son nom vernaculaire lui vient de l'anneau qu'elle porte au pied, caractère tout à fait rare chez les Bolets.
    C'est un excellent comestible à l'état jeune.
Enlever la cuticule qui se détache facilement ainsi que les pores.

Les espèces de bolets décrites
(description, photos...)

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Plus de photos de bolets

Bolet à mycélium rose
Bolet radicant
Bolet subtomenteux
Bolet tacheté

(d'après Champignons)

Champignons : Lactaires délicieux (Lactarius deliciosus)

Champignons : Lactaires délicieux
(Lactarius deliciosus)


Champignons : Lactaires délicieux (Lactarius deliciosus)


 Champignons : Lactaires délicieux (Lactarius deliciosus)
Champignons : Lactaires délicieux (Lactarius deliciosus)

 Champignons : Lactaires délicieux (Lactarius deliciosus)
Champignons : Lactaires délicieux (Lactarius deliciosus)
 

Lactaire délicieux : (Lactarius deliciosus)
 
Chapeau : jusqu'à 12 cm, d'abord hémisphérique puis étalé et creusé au centre, les bords enroulés se redressant; jaune orangé à zones concentriques orange, taché de vert sombre.
Pied : orange verdâtre, cylindrique, creux et effilé à la base, ponctué de taches orange vif
Lames : décurrentes sur le pied, orange, se salissant au frottement.
Chair : orangée, ferme et cassante, verdissant à l'aiç avec une faible odeur de carotte. Elle laisse sortir un lait orangé doux.
Spores : crème, ornementées.

    Le Lactaire délicieux vit essentiellement dans les bois de pins, sur sol calcaire. L'espèce est commune dès la fin de l'été et en automne. Son chapeau jaune orangé sale est marqué de zones concentriques plus foncées, tachées de vert. Lorsque l'on coupe le pied transversalement, un cercle orange vif, humide, apparaît.
    L'espèce est comestible et se prête fort bien à la conservation. Mais elle jouit d'une réputation usurpée depuis la méprise, il y a plus de deux siècles, du botaniste suédois Carl von Linné. Celui-ci avait entendu parler d'un certain Lactaire à lait rouge orangé, très apprécié dans les régions méridionales. Lorsqu'il crut, à tort, en avoir récolté des spécimens en Suède, il s'empressa de les baptiser « deliciosus », persuadé d'avoir affaire à l'espèce du Midi... Le Lactaire sanguin (Lactarius sangifluus), le vrai, à chapeau plus rouge, est évidemment de bien meilleure qualité.

Conserves de sanguins

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Les Lactaires
Lactaire poivré
Lactaire velouté
Lactaire renversé
Lactaire muqueux 
Lactaire plombé
Lactaire indigo
Lactaire à lait jaune
Lactaire zoné
Lactaire délicieux
Lactaire roux
Lactaire toisonné
Lactaire tranquille
Lactaire couleur de suie
Lactaire fuligineux

(d'après Champignons)

Champignons : Cèpe de Bordeaux

Champignons : Cèpe de Bordeaux

Champignons : Cèpe de Bordeaux
Champignons : Cèpe de Bordeaux


 Champignons : Cèpe de Bordeaux 
Champignons : Cèpe de Bordeaux
 

Champignons : Cepe

Champignons : Cèpe


Champignons : Cèpe

Champignons : Cepes de Bordeaux (Boletus edulis)

Champignons : Cèpes de Bordeaux
(Boletus edulis)

Champignons : Cèpes de Bordeaux (Boletus edulis)
Champignons : Cèpes de Bordeaux (Boletus edulis)
 

 

Cèpe de Bordeaux : (Boletus edulis)
Bolet comestible, cèpe (brérot, bruguet, potiron, gros pied, polonais...)
 
  Chapeau : jusqu'à 25 cm, d'un beau marron se dégradant vers la couleur fauve, plus clair en bordure. Sa forme est convexe.
  Pied : robuste, en forme de bouteille, clair et strié d'un fin réseau plus sombre.
  Tubes : fins, allant du blanc au blanc sale.
  Chair : blanche et épaisse, ne changeant pas de couleur à la cassure.
  Spores : en fuseau, légèrement jaunes.

    Si la saison est favorable, une première poussée de cette espèce de cèpe peut apparaître en juin, mais l'automne reste sa meilleure période. Le Cèpe de Bordeaux affectionne les bois clairs de feuillus ([es hêtraies et les châtaigneraies en particulier), les forêts d'épicéas, les lisières, les talus de sentiers forestiers. On le rencontre en plaine comme en moyenne montagne, aussi bien sur les sols siliceux que sur les sols calcaires fortement couverts d'humus. Son aire de répartition, très vaste, s'étend de l'Afrique du Nord à la Suède. C'est un champignon mycorhizique et, s'il vient seul, il n'est pas rare de lui trouver des voisins à proximité. Les exemplaires jeunes, en «bouchon de champagne», sont les plus prisés des amateurs. À l'état adulte, la taille de ce cèpe est parfois imposante mais sa chair se révèle alors spongieuse et souvent parasitée.
    C'est un comestible de premier choix qui fait l'objet, dans certaines régions de l'ouest de la France, de «chasses» en rangs serrés. Il est largement commercialisé sur les marchés. On le consomme frais, séché ou stérilisé en bocaux, voire même congelé après une pré cuisson.
Lors de la récolte du cèpe de Bordeaux, il est préférable de nettoyer aussitôt l'exemplaire cueilli, de couper la base du pied et au besoin même d'ôter les tubes (quelquefois nommés «mousse») pour éliminer les parasites éventuels. La cueillette sera déposée dans un panier, jamais dans un sac plastique, et cuisinée sans tarder.

(d'après Champignons)

Champignons : Amanite ovoïde

Champignons : Amanite ovoïde

Champignons : Amanite ovoïde
Champignons : Amanite ovoïde

Champignons : Amanite ovoïde
Champignons : Amanite ovoïde

 

Amanite ovoïde : (Amanita ovoidea)
Oronge blanche, coucoumelle
comestible moyen
 
  Dimensions : 15 à 25 cm de haut, 15 à 25 cm de diamètre
  Chapeau : D'abord ovoïde puis très étalé, à marge plus ou moins bordée de lambeaux. Épais, à surface lisse, blanc satiné évoluant vers l'ocre.
  Lames : blanches évoluant vers le crème, avec des flocons sur l'arête.
  Pied : massif, floconneux avec un anneau très floconneux lui-même, fugace. Volve importante, épaisse, crème puis ocre, enveloppe largement la base du pied.
  Chair : blanche, épaisse à odeur un peu désagréable notamment chez les exemplaires agés.
  Spores : blancs

    L'Amanite ovoïde aime les régions calcaires du sud de la France où elle peut se montrer assez largement, mais on peut la rencontrer parfois plus au nord. Elle pousse dans les taillis, les bois clairs, sous les chênes, les conifères.

L'Amanite ovoïde est un comestible moyen. Attention à la confusion avec l'Amanite proche (Amanita proxima) qui est mortelle ! On peut aussi la confondre avec l'Amanite à verrues (Amanita echinocephala) qui serait toxique.

(d'après Champignons)

Fleurs : Robinier, faux acacia ou acacia blanc

Fleurs: Robinier, faux acacia
ou acacia blanc

Fleurs : Robinier, faux acacia ou acacia blanc
Fleurs : Robinier, faux acacia ou acacia blanc

 Fleurs : Robinier, faux acacia ou acacia blanc
Fleurs : Robinier, faux acacia ou acacia blanc

ACACIA BLANC. — (Robinia pseudo Acacia). — Famille des Papilionacées. Originaire de Virginie.

Arbre atteignant 15 mètres de haut.

Multiplication par rejetons ou graines que l'on sème au printemps. Se plaît dans une terre sablonneuse et fraîche, mais réussit aussi dans toutes les terres. Ses racines traçantes maintiennent les terres en pentes, elles sont très voraces et épuisantes et elles nuisent aux autres plantes.

En mai, fleurs blanches en grappes pendantes et odorantes.

(d'après Jardinage traditionnel en Provence : légumes, fleurs, fruits culture, soins)

Fleurs : renoncule bulbeuse, bouton d'or

Fleurs : renoncule bulbeuse
bouton d'or

Fleurs : renoncule bulbeuse, bouton d'or
Fleurs : renoncule bulbeuse, bouton d'or

Fleurs : Primevères cultivées de mon jardin

Fleurs : Primevères cultivées
de mon jardin

Fleurs : Primevères cultivées de mon jardin
Fleurs : Primevères cultivées de mon jardin
 

PRIMEVÈRE DES JARDINS. — (Primula hortensis). Famille des Primulacées.

Plante indigène, vivace, croissant à l'ombre, haute de 15 cent.

On sème en plein air, de juin en juillet ou de mars en mai pour repiquer dans une terre légère et franche. Végète bien à l'ombre et peut se reproduire aussi par division de touffes après la floraison.

L'année suivante, de mars en mai, fleurs de couleurs variées.

Autres espèces : Primevère Auricule. — Primevère obconica, à grande fleur.

d'après : Jardinage traditionnel en Provence légumes, fleurs, fruits culture, soins

Fleurs : Primevère commune

Fleurs : Primevère commune

Fleurs : Primevère commune
Fleurs : Primevère commune
(Primula vulgaris)
 

La primevère commune de nos jardins est une des premières fleurs du printemps (primo vere signifie au début du printemps en latin). C'est une plante vivace, souvent cultivée en annuelle. Elle fleurit de février à mai, est rustique et possède un feuillage semi-persistant.

Les primevères sauvages, Primula elatior et Primula veris, dont les fleurs retombantes se présentent en ombelle au sommet d'une longue tige, sont également connues sous le nom de coucous.

La primevère commune, primevère acaule (Primula vulgaris) est une plante herbacée pérenne de la famille des Primulacées des régions tempérées de l'hémisphère nord.

Elle fleurit au début du printemps (février-avril) sur les talus et dans les prés. On la rencontre abondamment dans l'Ouest de la France, où elle supplante localement les coucous (Primula veris). Elle se distingue de cette espèce par des fleurs jaune pâle, à pétales étalés et dont les pédoncules partent tous directement de la base de la plante. Dans les zones où ces deux espèces cohabitent on peut en rencontrer des hybrides.

La primevère commune est à l'origine de variétés ornementales, et les feuilles sont comestibles en salade.

Feuilles gaufrées, en rosette chez une plante sans tige
Organes reproducteurs
Couleur dominante

Propriétés médicinales : Ce sont les mêmes que celles de la primevère officinale ou coucou et de la primevère élevée (Primula elatior)

Les fleurs, adoucissantes et calmantes, sont utilisées dans des mélanges pectoraux.

Les feuilles sont anti-ecchymotiques.

Toute la plante et particulièrement la racine ont des propriétés analgésiques, anti-spasmodiques, diurétiques et expectorantes.

(d'après Wikipédia)

Fleurs : Pourpier de mon jardin

 Fleurs : Pourpier
de mon jardin

  Fleurs : Pourpier de mon jardin
 Fleurs : Pourpier de mon jardin
(Variété cultivée)
 

Le Pourpier (Portulaca oleracea) est une plante aux tiges rampantes, souvent considéré comme une mauvaise herbe. Il s'agit d'une plante annuelle très commune des jardins et qui pousse dans les zones chaudes et en particulier dans le sud de la France.

Elle se reconnaît notamment grâce à ses feuilles charnues.

Organes reproducteurs
Couleur dominante des fleurs : jaune
Période de floraison : juin-novembre
Inflorescence : glomérules
Sexualité : hermaphrodite
Pollinisation : autogame
Graine
Fruit : capsule
Dissémination : barochore
Habitat et répartition
Habitat type : friches annuelles, nitrophiles, thermophiles
Aire de répartition : cosmopolite
données d'après : Julve, Ph., 1998 ff. - Baseflor. Index botanique, écologique et chorologique de la flore de France. Version : 23 avril 2004.

Les jeunes tiges et feuilles de pourpier se consomment en salade, et leur goût légèrement acidulé donne une petite touche originale.

Il peut également être cuit dans une soupe ou une omelette.

Tout se consomme dans cette plante mucilagineuse : tiges, branches, feuilles et même les graines qui étaient consommées en bouillie ou en farine.

Des variétés à fleurs roses ou blanches sont cultivées pour l'ornement.

Le pourpier est riche en vitamines A et C, calcium, fer, sodium, potassium et magnésium.

Cette plante est également riche en antioxydants et constitue un des éléments de base de l'alimentation crétoise. En effet, la Crète abrite un grand nombre de variétés de pourpiers poussant naturellement au creux des ravins humides.


(d'après Wikipédia)

Légumes : Pomme de terre de mon jardin

 Légumes : Pomme de terre
de mon jardin

  Légumes : Pomme de terre de mon jardin
 Légumes : Pomme de terre de mon jardin
 

POMME DE TERRE (Parmentière). — (Solanum tuberosum). — Famille des Solanées. Noms provençaux : Tartifle trufo. Originaire de l'Amérique méridionale. Introduite en France vers 1560.

Ce légume si utile pour l'alimentation, vient à peu près dans tous les terrains et prospère sous tous les climats excepté cependant sous ceux qui sont trop chauds. Une terre substantielle et saine lui convient de préférence. Pour avoir une récolte satisfaisante, il est nécessaire de préparer le terrain d'avance, de le fumer avant l'hiver et d'employer, surtout pour les terre maigres et argileuses, du fumier bien consommé.

On plante les tubercules à raison de 1.400 à 2.000 ce qui correspond à une mesure de 20 à 30 hectolitre à l'hectare.

On peut renouveler la culture tous les 2 ans sur le même terrain.

Culture de printemps.
    Plantation des tubercule
— On plante les variétés hâtives et demi-hâtives vers le 20 février, mais de préférence en mars et avril. Les variétés tardives se plantent d'avril en mai. Les gros tubercules se coupent en deux dans le sens de la longueur, de façon à conserver au moins un germe à chaque partie, les petits se plantent plutôt entiers. On plante chaque tubercule ou partie de tubercule le germe en haut, à 40 cent. les uns des autres à 10 cent. de profondeur pour les terres argileuses et à 20 cent. pour les terres légères. On espace les rang, de 65 à 70 cent. de distance pour faciliter le buttage. Lorsque les plants ont une hauteur de 10 à 15 cent on donne un premier binage, en choisissant un temps sec non prédisposé à la gelée, et en ayant soin de ne pas couper les tiges sous terre ; une quinzaine après on bine une deuxième fois et un peu plus tard, une troisième fois ; on butte quelques jours après, avant que les racines aient atteint un. trop grand développement, opération essentielle pour prévenir les maladies et rendre les racines plus fortes.

Observations sur la culture. — La plantation des petits tubercules entiers donne des résultats satisfaisants. mais elle convient surtout pour la petite culture.

Dans la grande culture, les gros tubercules que l'on coupe en deux dans le sens de la longueur avant de les planter, donnent ordinairement un plus fort rendement que les petits tubercules plantés entiers.

Avant de planter on peut laisser reposer les tubercules coupés pendant 24 heures avant de les mettre en terre, afin d'éviter la pourriture. Les tiges commencent à sortir 15 à 25 jours après la plantation. On peut hâter en faisant germer avant la plantation sur clayettes.

Dans les terres bien préparées par un labour de 35 à 40 cent. et fumées d'avance, 250 kilos de tubercules peuvent produire 1800 à 2000 kilos en moyenne à l'hectare. L'hectolitre pèse environ 65 kilos.

Dans la grande culture, deux ou trois labours sont nécessaires avant la plantation ; on fume le terrain en donnant le premier labour. La pomme de terre demande surtout des engrais contenant de la potasse, de l'azote et du phosphate. C'est une des plantes qui profite le mieux des engrais qu'elle reçoit.

On peut parfaitement obtenir une récolte de pommes de terre en les plantant entre les vignes.

 

d'après POMME DE TERRE

Polygala myrtifolia plante cultivée en pot

 Fleurs : Polygala myrtifolia
plante cultivée en pot

 Fleurs : Polygala myrtifolia plante cultivée en pot
 Fleurs : Polygala myrtifolia plante cultivée en pot


  Fleurs : Polygala myrtifolia plante cultivée en pot
 Fleurs : Polygala myrtifolia plante cultivée en pot
 

Légumes : poireaux de mon jardin

 Légumes : poireaux de mon jardin

 Légumes : poireaux de mon jardin
 Légumes : poireaux de mon jardin
 

POIREAU ou PORREAU. — (Alium porrum). — Famille des Liliacées. Nom provençal : Pòrri. Bisannuel. Originaire de la Suisse.

Durée germinative, 2 ans.

On sème en plein air (15 gr. au plus par mètre carré de septembre en octobre, et de janvier en juin, pour repiquer à 15 cent. de distance et à 10 cent. de profondeur, en rayons espacés de 40 cent. chacun, lorsque les plants ont atteint la grosseur d'un petit crayon et après habillage de la moitié des racines et des feuilles.

Cette plante demande une terre substantielle, douce, et de fréquents sarclages et arrosages entre les rayons.

Le poireau est très sensible au nitrate de soude ; comme fumure, pour 100 mètres carrés : 6 k. super-phosphate de chaux, 2 k. chlorure de potassium enterrés au dernier labour, 6 k. nitrate de soude à répandre en trois fois, avant le semis, après la levée et 15 jours plus tard.

Plante exigeante et épuisante, elle ne doit revenir sur  la même parcelle que tous les 4 ans. Fumures anciennes mais copieuses.

On mange les feuilles imbriquées les unes sur les autres et appelées vulgairement racines, parce que cette partie blanche se trouve dans la terre. C'est un aliment diurétique, rafraîchissant et digestif.

Variétés : Poireau long ordinaire. — Poireau long gros du Midi.— Poireau long d'hiver de Paris. — Poireau gros court d'été. — Poireau gros court de Rouen. — Poireau monstrueux de Carentan.— Poireau long de Mézières. — Poireau jaune du Poitou. — Poireau de Palerme, etc.

d'après : Jardinage traditionnel en Provence légumes, fleurs, fruits culture, soins

Fleurs : Pissenlit ou Dent-de-lion

 Fleurs : Pissenlit ou Dent-de-lion

 Fleurs : Pissenlit ou Dent-de-lion
 Fleurs : Pissenlit ou Dent-de-lion

 Fleurs : Pissenlit ou Dent-de-lion 
Fleurs : Pissenlit ou Dent-de-lion
Taraxacum officinale

On appelle pissenlit diverses plantes à tige généralement creuse et dont l'inflorescence est un capitule plat et jaune. Ce capitule est généralement à fleurons ligulés. C'est la couleur jaune du capitule et sa forme plate qui déterminent généralement l'emploi du nom « pissenlit » pour désigner telle ou telle espèce.

Les pissenlits « véritables » sont des espèces du genre Taraxacum. Des espèces d'autres genres de la famille des Asteraceae peuvent prendre néanmoins ce nom vernaculaire.

Genre Taraxacum
Les espèces du genre Taraxacum sont des plantes dicotylédones anémocores.

C'est le genre des pissenlits véritables, même s'il existe dans ce cas des « pissenlits blancs » (comme Taraxacum albidum).

Les akènes à aigrettes que produisent souvent les espèces de ce genre sont très connus. Il est traditionnel de souffler dessus pour les voir s'envoler.

Pissenlits communs

Les feuilles, les fleurs et les racines des pissenlits dits « communs » ou « officinaux » sont également consommées. On remarquera que « pissenlit commun » est également une appellation vague qui regroupe plusieurs espèces, qu'il est parfois difficile de différencier. Certaines de ces espèces formaient l'agrégat d'espèces Taraxacum officinale agg.. Cet agrégat a été abandonné et les espèces sont maintenant réunies au sein d'une des sections du genre Taraxacum, la section Ruderalia.

(d'après Wikipédia)

Fleurs : Pétunia cerise

Fleurs : Pétunia cerise

 Fleurs : Pétunia cerise 
Fleurs : Pétunia cerise
Plante cultivée en pot

« Pétunia » désigne plusieurs plusieurs espèces de plantes ornementales ainsi que plusieurs hybrides et cultivars.

Ce sont des plantes herbacées vivaces ou annuelles de la famille des Solanaceae, originaires des régions tropicales d'Amérique du Sud, et surtout du Brésil.

Ce sont des plantes dont les tiges s'allongent à la floraison. Le feuillage est assez court, et duveteux, collant un peu les doigts. Le parfum des fleurs peut être désagréable.

En fait les pétunias sont des plantes appartenant à 2 genres botaniques :

Le genre Petunia
Le genre Calibrachoa, dont les espèces sont parfois appelées « mini pétunias ». C'est un genre essentiellement brésilien.


(d'après Wikipédia)

Fleurs : Grande pervenche

Fleurs : Grande pervenche

 Fleurs : Grande pervenche 
Fleurs : Grande pervenche
(Vinca major)

Les pervenches (genre Vinca) sont des plantes herbacées pérennes de la famille des Apocynacées. La pervenche se multiplie par "stolons" comme le fraisier; c'est-à-dire que ses tiges s'allongent, couvrent le sol et y prennent racine de place en place. À chaque nouveau petit bouquet de racines se développe une nouvelle plante.
En zone européenne tempérée, à la différence du muguet et de l'anémone des bois, elle serait un biodindicateur qui signale que cette parcelle a été autrefois cultivée (éventuellement plusieurs siècles ou millénaires auparavant). Elle renseigne donc sur la naturalité des forêts.

Le mot pervenche vient du mot latin de la plante "vinca" de "vincire", lier, attacher, car cette plante dont les horticulteurs font de fort belles bordures se traîne par terre et s'étend comme une corde.Dans une autre plante de la famille des Apocynacées, la pervenche de Madagascar (Catharanthus roseus), ont été identifiés des alcaloïdes qui ont permis de produire un médicament anti-cancéreux. Pour guérir de violents maux de dents l'on introduit quelques gouttes tièdes dans les oreilles du suc obtenu comme suite. Prendre deux pincées de feuilles de pervenche autant d'armoise et deux feuilles de tabac. Faire bouillir à petit feu ce mélange dans de l'huile. Presser le marc refroidi et conserver le suc obtenu.

(d'après Wikipédia)

Fleurs : Pâquerettes

Fleurs : Pâquerettes

 Fleurs : Pâquerettes 
Fleurs : Pâquerettes
(Bellis perennis)

La pâquerette (Bellis perennis) est une plante vivace des prairies de 0,1 à 0,2 m, de la famille des Asteraceae dont les fleurs en capitule vont de la couleur blanche à rose.

La pâquerette est souvent prescrite pour l'hypertension et l'artériosclérose[réf. nécessaire] (utilisation des fleurs et des feuilles). En infusion, une cuillère par tasse d'eau bouillante, laisser infuser 10 minutes, 3 tasses par jour.

(d'après Wikipédia)

Fleurs : Ornithogale en ombelle (Dame d'onze heure)

Fleurs : Ornithogale en ombelle
(Dame d'onze heure)

 Fleurs : Ornithogale en ombelle (Dame d'onze heure) 
Fleurs : Ornithogale en ombelle (Dame d'onze heure)
(
Ornithogalum umbellatum)

Ornithogalum est un genre de plantes monocotylédones, les ornithogales. Il appartient à la famille des Liliaceae selon la classification classique. La classification phylogénétique le place dans la famille des Hyacinthaceae (ou optionnellement dans celle des Asparagaceae).

Ce sont des plantes vivaces par leur bulbe, à feuilles basales, dont l'inflorescence se présente sous forme de racème ou de corymbe. Les fleurs sont étoilées, blanches ou verdâtres, à six tépales identiques (trois pétales et trois sépales pétaloïdes) et à six étamines. Le fruit est une capsule à six angles. Certaines espèces contiennent des alcaloïdes, dont la colchicine. Le genre contient des espèces toxiques et d'autres comestibles.

Le nom du genre (déjà utilisé en grec et en latin) est formé sur les mots grecs ornithos (= oiseau) et gala (= lait), peut-être en raison de la forme et de la blancheur des tépales de l'ornithogale en ombelle.

L'ornithogale en ombelle (Ornithogalum umbellatum) est une petite plante printanière à fleurs blanches appartenant au genre Ornithogalum et à la famille des Liliacées. Cette plante est appelée communément dame d'onze heures, car ses fleurs s'ouvrent en plein soleil, et se referment au soir. Elle est rencontrée dans les prairies, aux bords des chemins.

C'est une plante herbacée vivace de 10 à 30 cm de haut. La floraison a lieu d'avril à juin. Les fleurs sont disposées en corymbe. Les fleurs sont blanches, les pétales et les sépales sont blancs avec une large ligne verte sur la face inférieure. Ornithogalum umbellatum est toxique, surtout le bulbe.

(d'après Wikipédia)

Oranger couvert d'oranges de mon jardin

Oranger couvert d'oranges
de mon jardin

 Oranger couvert d'oranges de mon jardin 
Oranger couvert d'oranges de mon jardin