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mimosa - acacia dealbata - de mon jardin


Photo de mimosa - acacia dealbata -
de mon jardin

Photo de mimosa - acacia dealbata - de mon jardin
Photo de mimosa - acacia dealbata - de mon jardin

ACACIA DEALBATA.— (Mimosa). — Acacia d'ornement).

Arbuste recherché pour sa fleur coupée.

Il se multiplie par graines que l'on sème sous châssis, de mars en mai. La multiplication par greffes est la plus usitée. Cette plante se plaît dans une terre légère et franche et à une exposition chaude ; elle réussit toujours mieux dans une terre dont la nature est siliceuse. Elle réussit assez bien dans un mélange de terre de bruyère, de terreau et de sable.

En hiver et au printemps, apparaissent des fleurs jaunes, globuleuses, légèrement odorantes, disposées en grappes compactes et d'un aspect gracieux.

Cette plante est très cultivée en Provence, dans la région méditerranéenne. Les autres espèces d'acacia, recherchées pour les fleurs sont :

Acacia floribunda, rustique et florifère. — Acacia Baïleyana, à fleur jaune d'or. — Acacia petiolaris, à longue feuille et fleur jaune. — Etc.

(d'après http://environnement.ecoles.free.fr/Jardin_jardinage/acacia_dealbata.htm)

feuilles de lierre grimpant


Photo de feuilles de lierre grimpant

Feuilles de lierre grimpant variété miniature
Feuilles de lierre grimpant variété miniature

Le lierre grimpant, ou lierre commun, est une plante grimpante et rampante, à feuilles persistantes, de la famille des Araliaceae, généralement cultivée comme plante ornementale.

Nom scientifique : Hedera helix L., famille des Araliaceae.

Nom commun : lierre, bourreau des arbres, herbe de saint Jean. de : Efeu, en : ivy, it : edera.

C'est une liane arborescente (une des rares liane que l'on trouve en Europe et en Asie Mineure, avec la clématite, le houblon ou le chèvre-feuille) qui forme des tiges ligneuses rampantes ou grimpantes de taille indéfinie (il atteint facilement 30 mètres de long et 25 m en hauteur).

Les feuilles, alternes, à limbe assez coriace, vert foncé ou légèrement blanchie sur les contours du limbe, présentent deux formes différentes selon leur fonction, on parle d'hétérophyllie :

celles des tiges sans fleurs, sont divisées en 5 lobes plus ou moins profonds (parfois 3)
celles des tiges fleuries et dressées, sont ovales, à sommet aigu
Ces feuilles sont persistantes et tombent au cours de leur sixième année.

Les tiges grimpantes portent au milieu des entrenœuds des crampons parfois difficiles à enlever à mains nues, qui sont des racines transformées émettant de nombreux poils ventouses qui s'accrochent à un support (mur, arbre, arbuste, etc.). Ces racines modifiées n'ont aucune fonction absorbante : le lierre n'est pas une plante parasite (à la différence du gui par exemple).

Il est donc inutile de couper les branches et d'arracher les pousses de lierre à tout-va, contrairement aux idées reçues. Le lierre ne mérite donc pas son surnom de « bourreau des arbres ». On voit parfois des arbres morts recouverts de lierre, mais celui-ci n'est pas responsable de la mort de l'arbre, qui ne lui sert que de support. Lors de promenades durant l'hiver, on pourrait croire que les arbres à feuilles caduques sont étouffés par le lierre, qui reste bien vert durant l'hiver, mais ce n'est qu'une fausse impression, donnée par l'opposition des cycles de développement entre le lierre et son support. Cependant, les tiges du lierre finissent toujours par enserrer complètement le tronc de l'arbre et, une fois devenues rigides, peuvent le gêner dans sa croissance. Malgré tout, le lierre grimpe de façon rectiligne sur son support, et rarement en s'enroulant autour comme le chèvre-feuille (qui cause alors déformations et retards de croissance pour l'arbre-support)

Les tiges rampantes émettent au niveau des nœuds des racines adventives qui permettent à la plante de se multiplier.

Les fleurs portent cinq pétales et sont jaune verdâtre. Elles sont regroupées en ombelles elle-mêmes disposées en grappes terminales. La floraison s'étale en septembre-octobre, et la fructification s'effectue vers la fin de l'hiver, début du printemps. Le lierre présente donc un cycle phénologique inversé par rapport aux plantes dont il se sert de support.

Les fruits du lierre grimpant sont des baies (8 à 10 mm) bleues violette groupées en grappe.

(d'après Wikipédia)

lapin en chocolat pour Pâques


Photo de lapin en chocolat pour Pâques

Photo de lapin en chocolat pour Pâques
Photo de lapin en chocolat pour Pâques

La tradition des oeufs de Pâques apportés par les cloches se complète de friandises en chocolat où le lapin trouve une large place avec les poissons et autres personnages, pour le plus grand plaisir des enfants mais aussi des plus grands !

fleurs de jacinthes


Photos de fleurs de jacinthes
du jardin ou des bois

Photo de fleurs de jacinthes du jardin
Photo de fleurs de jacinthe du jardin

Photo de fleurs de jacinthe des bois
Photo de fleurs de jacinthe des bois

JACINTHE D'ORIENT. — (Hyacinthus Orientalis). — Famille des Liliacées. Nom provençal : jacinthe. Originaire de l'Orient.

Bulbe vivace.

On plante les bulbes ou oignons de jacinthe, depuis septembre jusqu'à fin décembre, en pleine terre, légère, plutôt sablonneuse, à 10 cent. de profondeur. La plantation faite, les recouvrir de quelques centimètres de feuilles et de paille sèche, afin de les garantir du froid. Fumure aux engrais très décomposés : pas de fumier frais. La floraison a lieu en février-mars et même jusqu'en avril. On peut, au besoin, retarder la plantation jusqu'en février. On coupe les tiges à fleurs, si l'on ne veut pas de graines, pour éviter l'épuisement.

Les fleurs de jacinthe, surtout les variétés de Hollande, forment de jolis pompons fleuris, à odeur suave et de couleurs agréables et variées. Arrosements modérés au début et gradués suivant l'activité de la végétation.

En juin ou juillet, lorsque les feuilles sont desséchées, on retire les oignons de la terre, on les fait; sécher, en les exposant à l'air sec et ensuite on les enferme dans un endroit bien aéré pour les conserver jusqu'à la prochaine plantation.

Culture en carafes. — L'ouverture des vases doit être proportionnée à la grosseur de l'oignon. On remplit les vases d'eau, de manière que la couronne ou la surface, par où poussent les racines, soit mouillée suffisamment par l'eau. On a le soin d'ajouter de l'eau à mesure qu'elle s'épuise et on renouvelle l'eau entièrement au moins tous les quinze jours.

La culture de la jacinthe dans les appartements est très répandue, car elle offre l'avantage d'avoir des fleurs pendant l'hiver, alors qu'elles sont assez rares dans les jardins.

(d'après http://environnement.ecoles.free.fr/Jardin_jardinage/jacinthe_d_orient.htm)

iris de mon jardin


Photo d'iris de mon jardin

Photo d'iris de mon jardin
Photo d'iris de mon jardin

IRIS. — Famille des Iridacées. Noms provençaux : Flambo, glaujo, coutelas.

Multiplication par divisions de rhizomes, dans une terre saine, à mi-ombre ou au soleil. On plante généralement en automne et au printemps. Tige haute de 60 cent. à 1 mètre de hauteur. Fleurs de formes et de couleurs différentes et de grandes dimensions, suivant les variétés qui sont assez nombreuses et dont les principales sont : Iris anglais. — Iris germanica. — Iris de Florence. — Iris d'Espagne. — Iris de Perse. — Iris de Suze. — Iris des marais. — Etc.

(d'après http://environnement.ecoles.free.fr/Jardin_jardinage/iris.htm)

touffe de gui, plante parasite : au gui l'an neuf


Photos de gui, plante parasite
"au gui l'an neuf !"

Photos de touffe de gui, plante parasite : au gui l'an neuf !
Photos de touffe de gui, plante parasite : au gui l'an neuf !

Fruits du gui, visqueux et collants à l'écrasement
Fruits du gui, visqueux et collants à l'écrasement

 Fixation de gui parasite sur la plante hôte, ici un pin sylvestre
  Fixation de gui parasite sur la plante hôte, ici un pin sylvestre

Le gui (du latin viscum, sous l'influence du francique *wîhsila ) est un sous-arbrisseau hémiparasite de la famille des Loranthacées, originaire des régions tempérées de l'ancien monde, que l'on trouve sur diverses espèces d'arbres feuillus ou résineux. C'est en Europe une plante traditionnelle, avec le houx, des fêtes de Noël et de fin d'année. On l'appelle aussi bois de Sainte Croix.

À Noël, et le jour de l'an à minuit précisément, la tradition, en Europe, veut que l'on s'embrasse sous une branche de gui, symbole de prospérité et de longue vie. La saison voulant que le gui abonde, on en cueillit dès le Moyen Âge pour l'offrir avec ce souhait : « Au gui l'an neuf », formule qui fut remplacée plus tard par « Bon an, mal an, Dieu soit céans » (soit dans la maison). Au XIXe siècle on disait « Bonne et sainte année, le paradis à la fin de vos jours », expression modernisée au XXe siècle en « Bonne et heureuse année ».

Le gui est un sous-arbrisseau prenant, après quelques années, l'apparence d'une grosse boule vert jaunâtre de 50 cm à un mètre de diamètre. En hiver, après la chute des feuilles, il devient facilement repérable dans les arbres. Certaines branches peuvent atteindre 60 cm de hauteur.

Il est fixé à son hôte par un suçoir primaire de forme conique qui s'enfonce profondément jusqu'au bois, sans pouvoir pénétrer le tissu ligneux. Toutefois, l'accroissement du bois en épaisseur par la formation des cernes annuels finit par englober plus profondément ce suçoir. Celui-ci émet des ramifications latérales, les cordons corticaux qui s'insinuent et se ramifient sous l'écorce à la limite du cambium et du liber et émettent à leur tour des suçoirs secondaires. L'observation sur une branche coupée de l'enfoncement de ces suçoirs dans les cernes du bois permet de déterminer l'âge de la touffe, qui peut atteindre 30 ans.

Les tiges vertes, de section cylindrique, ont un mode de ramification dichotomique par suite de l'avortement du bourgeon terminal. Cette dichotomie n'est toutefois pas absolue, il peut arriver que plus de deux rameaux partent du même nœud. Les ramifications successives conduisent à la forme de boule, leur nombre permettant d'évaluer l'âge de la plante.

Les feuilles, vertes également tirant souvent sur un vert jaunâtre, sont simples, arrondies, sans pétiole et disposées par paires opposées à l'extrémité des rameaux. Leur limbe, coriace, de 5 à 6 cm de long, est parcouru par cinq nervures parallèles. Elles persistent 18 mois à deux ans faisant du gui une plante toujours verte.

Le gui est une plante dioïque, avec donc des touffes à fleurs femelles et d'autres à fleurs mâles, et une floraison en mars et avril. Il peut arriver que les touffes voisines soient imbriquées donnant l'impression de pieds hermaphrodites.

Les fleurs, sessiles, jaunâtres, sont groupées en petites inflorescences insérées au niveau des nœuds des tiges. Les fleurs mâles comportent quatre tépales qui portent les anthères sans filet. À la floraison, elles laissent apparaître le pollen sur leur face interne.

Les fleurs femelles sont très particulières aussi : elle comportent quatre tépales surmontant un ovaire infère soudé au réceptacle.

Les fruits donnés par les touffes femelles sont de fausses baies globuleuses de 8 à 10 mm de diamètre, d'un blanc vitreux, charnues et visqueuses, caractéristique soulignée par Virgile et Pline, d'où le terme de viscum. La pulpe est constituée de viscine, substance collante qui contribue à la fixation des graines sur les branches des plantes-hôtes.

Les fruits mûrissent entre août et décembre et ne germent qu'au printemps suivant.

(d'après Wikipédia)

chat devant la maison


Photo de mon chat devant la maison

Photo de mon chat devant la maison
Photo de mon chat devant la maison


 
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