Fleurs : Muscari
Fleurs : Muscari
de mon jardin
Fleurs : Muscari
Muscari est un genre de plantes monocotylédones printanières à
bulbe, de 20 à 60 cm de haut.
Ce genre fait partie de la famille des Liliaceae selon la classification
classique, ou celle des Hyacinthaceae selon la classification phylogénétique APG
I. La classification APG II propose de l'inclure dans celle des Asparagaceae.
Il est facilement reconnaissable à ses fleurs de couleur bleue, violette ou
noirâtre, parfois blanches, petites clochettes ovoïdes à ouverture étroite,
réunies en une grappe très serrée, dans laquelle elles sont presque soudées. Les
feuilles, longues (environ 20 cm) et étroites, un peu charnues, d'un beau vert,
sont situées à la base de la plante. Elles apparaissent en général après
l'inflorescence.
Les Muscari sont originaires du vieux monde : centre et sud de l'Europe, nord de
l'Afrique, ouest, centre et sud-ouest de l'Asie.
Ce sont des plantes très rustiques, qui se ressèment facilement d'elles-mêmes.
Le terme muscari (latin scientifique de la Renaissance muscarium) est un dérivé
de musc, évoquant le parfum musqué de certaines espèces.
Les Muscari sont toxiques.
(d'après Wikipédia)
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Fleurs : Lunaire monnaie-du-pape
Fleurs : Lunaire monnaie-du-pape
Fleurs : Lunaire monnaie-du-pape
(Lunaria annua)
Les lunaires sont des plantes dicotylédones de la famille des
brassicacées, ou crucifères, appartenant au genre Lunaria. On en connaît deux
principales espèces, Lunaria rediviva, la lunaire vivace, et Lunaria annua, la
monnaie-du-pape. Très communes en Europe occidentale, ces deux espèces
cohabitent rarement : la première préfère les climats tempérés à froids (elle
est abondante en Grande-Bretagne), la seconde est plus méridionale. Elles ont en
commun leurs petites fleurs violettes, à quatre pétales, et surtout leurs
fruits, silicules très plates, ovales pour L. rediviva, circulaires et
semblables à des pièces d'argent pour L. annua, d'où son nom de monnaie-du-pape,
herbe-aux-écus, médaille-de-Judas ou satin blanc. La monnaie-du-pape est très
appréciée en bouquets de fleurs sèches.
L. annua est aussi appelée L. biennis, terme qui semble plus correct dans la
mesure où il s'agit d'une plante bisannuelle. La plante peut atteindre 60 cm à 1
m de haut. On la rencontre fréquemment au bord des chemins ou dans les
décombres, dans des lieux semi-ombragés. La tige est légèrement velue. Les
feuilles, sessiles, sont cordées et grossièrement dentées, assez grandes. Les
fleurs forment de fausses ombelles au sommet d'une longue tige dressée.
Floraison à partir d'avril.
L. rediviva, par contre est une plante vivace. Elle apprécie surtout les lieux
humides, notamment les bois. Les feuilles sont plus nettement dentées que celles
de L. annua, et les fleurs beaucoup plus odorantes. Floraison à partir de mai.
L. telekiana est une autre espèce de lunaire endémique du nord-est de l'Albanie.
Le terme lunaire, adjectif lié à la lune, est visiblement lié à la forme des
fruits de la monnaie-du-pape.
Ce motif a été très représenté dans le mouvement Art Nouveau de l'École de
Nancy.
(d'après Wikipédia)
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mimosa - acacia dealbata - de mon jardin
Photo de mimosa - acacia dealbata -
de mon jardin
Photo de mimosa - acacia dealbata - de mon jardin
ACACIA DEALBATA.— (Mimosa). — Acacia d'ornement).
Arbuste recherché pour sa fleur coupée.
Il se multiplie par graines que l'on sème sous châssis, de mars en mai. La
multiplication par greffes est la plus usitée. Cette plante se plaît dans une
terre légère et franche et à une exposition chaude ; elle réussit toujours mieux
dans une terre dont la nature est siliceuse. Elle réussit assez bien dans un
mélange de terre de bruyère, de terreau et de sable.
En hiver et au printemps, apparaissent des fleurs jaunes, globuleuses,
légèrement odorantes, disposées en grappes compactes et d'un aspect gracieux.
Cette plante est très cultivée en Provence, dans la région méditerranéenne. Les
autres espèces d'acacia, recherchées pour les fleurs sont :
Acacia floribunda, rustique et florifère. — Acacia Baïleyana, à fleur jaune
d'or. — Acacia petiolaris, à longue feuille et fleur jaune. — Etc.
(d'après http://environnement.ecoles.free.fr/Jardin_jardinage/acacia_dealbata.htm)
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feuilles de lierre grimpant
Photo de feuilles de lierre grimpant
Feuilles de lierre grimpant variété miniature
Le lierre grimpant, ou lierre commun, est une plante grimpante et rampante, à
feuilles persistantes, de la famille des Araliaceae, généralement cultivée comme
plante ornementale.
Nom scientifique : Hedera helix L., famille des Araliaceae.
Nom commun : lierre, bourreau des arbres, herbe de saint Jean. de : Efeu, en :
ivy, it : edera.
C'est une liane arborescente (une des rares liane que l'on trouve en Europe et
en Asie Mineure, avec la clématite, le houblon ou le chèvre-feuille) qui forme
des tiges ligneuses rampantes ou grimpantes de taille indéfinie (il atteint
facilement 30 mètres de long et 25 m en hauteur).
Les feuilles, alternes, à limbe assez coriace, vert foncé ou légèrement blanchie
sur les contours du limbe, présentent deux formes différentes selon leur
fonction, on parle d'hétérophyllie :
celles des tiges sans fleurs, sont divisées en 5 lobes plus ou moins profonds
(parfois 3)
celles des tiges fleuries et dressées, sont ovales, à sommet aigu
Ces feuilles sont persistantes et tombent au cours de leur sixième année.
Les tiges grimpantes portent au milieu des entrenœuds des crampons parfois
difficiles à enlever à mains nues, qui sont des racines transformées émettant de
nombreux poils ventouses qui s'accrochent à un support (mur, arbre, arbuste,
etc.). Ces racines modifiées n'ont aucune fonction absorbante : le lierre n'est
pas une plante parasite (à la différence du gui par exemple).
Il est donc inutile de couper les branches et d'arracher les pousses de lierre à
tout-va, contrairement aux idées reçues. Le lierre ne mérite donc pas son surnom
de « bourreau des arbres ». On voit parfois des arbres morts recouverts de
lierre, mais celui-ci n'est pas responsable de la mort de l'arbre, qui ne lui
sert que de support. Lors de promenades durant l'hiver, on pourrait croire que
les arbres à feuilles caduques sont étouffés par le lierre, qui reste bien vert
durant l'hiver, mais ce n'est qu'une fausse impression, donnée par l'opposition
des cycles de développement entre le lierre et son support. Cependant, les tiges
du lierre finissent toujours par enserrer complètement le tronc de l'arbre et,
une fois devenues rigides, peuvent le gêner dans sa croissance. Malgré tout, le
lierre grimpe de façon rectiligne sur son support, et rarement en s'enroulant
autour comme le chèvre-feuille (qui cause alors déformations et retards de
croissance pour l'arbre-support)
Les tiges rampantes émettent au niveau des nœuds des racines adventives qui
permettent à la plante de se multiplier.
Les fleurs portent cinq pétales et sont jaune verdâtre. Elles sont regroupées en
ombelles elle-mêmes disposées en grappes terminales. La floraison s'étale en
septembre-octobre, et la fructification s'effectue vers la fin de l'hiver, début
du printemps. Le lierre présente donc un cycle phénologique inversé par rapport
aux plantes dont il se sert de support.
Les fruits du lierre grimpant sont des baies (8 à 10 mm) bleues violette
groupées en grappe.
(d'après Wikipédia)
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lapin en chocolat pour Pâques
Photo de lapin en chocolat pour Pâques
Photo de lapin en chocolat pour Pâques
La tradition des oeufs de Pâques apportés par les cloches se complète de friandises en chocolat où le lapin trouve une large place avec les poissons et autres personnages, pour le plus grand plaisir des enfants mais aussi des plus grands !
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fleurs de jacinthes
Photos de fleurs de jacinthes
du jardin ou des bois
Photo de fleurs de jacinthe du jardin
Photo de fleurs de jacinthe des bois
JACINTHE D'ORIENT. — (Hyacinthus Orientalis). — Famille des Liliacées. Nom
provençal : jacinthe. Originaire de l'Orient.
Bulbe vivace.
On plante les bulbes ou oignons de jacinthe, depuis septembre jusqu'à fin
décembre, en pleine terre, légère, plutôt sablonneuse, à 10 cent. de profondeur.
La plantation faite, les recouvrir de quelques centimètres de feuilles et de
paille sèche, afin de les garantir du froid. Fumure aux engrais très décomposés
: pas de fumier frais. La floraison a lieu en février-mars et même jusqu'en
avril. On peut, au besoin, retarder la plantation jusqu'en février. On coupe les
tiges à fleurs, si l'on ne veut pas de graines, pour éviter l'épuisement.
Les fleurs de jacinthe, surtout les variétés de Hollande, forment de jolis
pompons fleuris, à odeur suave et de couleurs agréables et variées. Arrosements
modérés au début et gradués suivant l'activité de la végétation.
En juin ou juillet, lorsque les feuilles sont desséchées, on retire les oignons
de la terre, on les fait; sécher, en les exposant à l'air sec et ensuite on les
enferme dans un endroit bien aéré pour les conserver jusqu'à la prochaine
plantation.
Culture en carafes. — L'ouverture des vases doit être proportionnée à la
grosseur de l'oignon. On remplit les vases d'eau, de manière que la couronne ou
la surface, par où poussent les racines, soit mouillée suffisamment par l'eau.
On a le soin d'ajouter de l'eau à mesure qu'elle s'épuise et on renouvelle l'eau
entièrement au moins tous les quinze jours.
La culture de la jacinthe dans les appartements est très répandue, car elle
offre l'avantage d'avoir des fleurs pendant l'hiver, alors qu'elles sont assez
rares dans les jardins.
(d'après
http://environnement.ecoles.free.fr/Jardin_jardinage/jacinthe_d_orient.htm)
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iris de mon jardin
Photo d'iris de mon jardin
Photo d'iris de mon jardin
IRIS. — Famille des Iridacées. Noms provençaux : Flambo, glaujo, coutelas.
Multiplication par divisions de rhizomes, dans une terre saine, à mi-ombre ou au
soleil. On plante généralement en automne et au printemps. Tige haute de 60
cent. à 1 mètre de hauteur. Fleurs de formes et de couleurs différentes et de
grandes dimensions, suivant les variétés qui sont assez nombreuses et dont les
principales sont : Iris anglais. — Iris germanica. — Iris de Florence. — Iris
d'Espagne. — Iris de Perse. — Iris de Suze. — Iris des marais. — Etc.
(d'après
http://environnement.ecoles.free.fr/Jardin_jardinage/iris.htm)
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touffe de gui, plante parasite : au gui l'an neuf
Photos de gui, plante parasite
"au gui l'an neuf !"
Photos de touffe de gui, plante parasite : au gui l'an neuf !
Fruits du gui, visqueux et collants à l'écrasement
Fixation de gui parasite sur la plante hôte, ici un pin sylvestre
Le gui (du latin viscum, sous l'influence du francique *wîhsila ) est un
sous-arbrisseau hémiparasite de la famille des Loranthacées, originaire des
régions tempérées de l'ancien monde, que l'on trouve sur diverses espèces
d'arbres feuillus ou résineux. C'est en Europe une plante traditionnelle, avec
le houx, des fêtes de Noël et de fin d'année. On l'appelle aussi bois de Sainte
Croix.
À Noël, et le jour de l'an à minuit précisément, la tradition, en Europe, veut
que l'on s'embrasse sous une branche de gui, symbole de prospérité et de longue
vie. La saison voulant que le gui abonde, on en cueillit dès le Moyen Âge pour
l'offrir avec ce souhait : « Au gui l'an neuf », formule qui fut remplacée plus
tard par « Bon an, mal an, Dieu soit céans » (soit dans la maison). Au XIXe
siècle on disait « Bonne et sainte année, le paradis à la fin de vos jours »,
expression modernisée au XXe siècle en « Bonne et heureuse année ».
Le gui est un sous-arbrisseau prenant, après quelques années, l'apparence d'une
grosse boule vert jaunâtre de 50 cm à un mètre de diamètre. En hiver, après la
chute des feuilles, il devient facilement repérable dans les arbres. Certaines
branches peuvent atteindre 60 cm de hauteur.
Il est fixé à son hôte par un suçoir primaire de forme conique qui s'enfonce
profondément jusqu'au bois, sans pouvoir pénétrer le tissu ligneux. Toutefois,
l'accroissement du bois en épaisseur par la formation des cernes annuels finit
par englober plus profondément ce suçoir. Celui-ci émet des ramifications
latérales, les cordons corticaux qui s'insinuent et se ramifient sous l'écorce à
la limite du cambium et du liber et émettent à leur tour des suçoirs
secondaires. L'observation sur une branche coupée de l'enfoncement de ces
suçoirs dans les cernes du bois permet de déterminer l'âge de la touffe, qui
peut atteindre 30 ans.
Les tiges vertes, de section cylindrique, ont un mode de ramification
dichotomique par suite de l'avortement du bourgeon terminal. Cette dichotomie
n'est toutefois pas absolue, il peut arriver que plus de deux rameaux partent du
même nœud. Les ramifications successives conduisent à la forme de boule, leur
nombre permettant d'évaluer l'âge de la plante.
Les feuilles, vertes également tirant souvent sur un vert jaunâtre, sont
simples, arrondies, sans pétiole et disposées par paires opposées à l'extrémité
des rameaux. Leur limbe, coriace, de 5 à 6 cm de long, est parcouru par cinq
nervures parallèles. Elles persistent 18 mois à deux ans faisant du gui une
plante toujours verte.
Le gui est une plante dioïque, avec donc des touffes à fleurs femelles et
d'autres à fleurs mâles, et une floraison en mars et avril. Il peut arriver que
les touffes voisines soient imbriquées donnant l'impression de pieds
hermaphrodites.
Les fleurs, sessiles, jaunâtres, sont groupées en petites inflorescences
insérées au niveau des nœuds des tiges. Les fleurs mâles comportent quatre
tépales qui portent les anthères sans filet. À la floraison, elles laissent
apparaître le pollen sur leur face interne.
Les fleurs femelles sont très particulières aussi : elle comportent quatre
tépales surmontant un ovaire infère soudé au réceptacle.
Les fruits donnés par les touffes femelles sont de fausses baies globuleuses de
8 à 10 mm de diamètre, d'un blanc vitreux, charnues et visqueuses,
caractéristique soulignée par Virgile et Pline, d'où le terme de viscum. La
pulpe est constituée de viscine, substance collante qui contribue à la fixation
des graines sur les branches des plantes-hôtes.
Les fruits mûrissent entre août et décembre et ne germent qu'au printemps
suivant.
(d'après Wikipédia)
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